Don (actuellement) › Klaus est capable de voir et entendre les esprits des morts n'étant pas passé à autre chose. Il est capable de mourir temporairement et de se retrouver dans le monde des morts. Malheureusement, la chose étant a la tête de ce "autre monde" ne l'aime pas et le renvoie sans cesse dans le monde des vivants aussitôt trouvé ou alors lui accorde quelques minutes pour parler à un mort s'y trouvant. S'il est sous l'emprise de substances illicites ou d'alcool, il ne s'en souvient pas.

Don (évolution) > Par la suite, une fois qu'il sera plus à l'aise avec les esprits, il va être capable d'avoir un contact physique avec les morts, mais aussi de faire venir les morts dans le monde des vivants. Ceux-ci pourront donc parler et être visibles à tout le monde, mais aussi agir comme s'ils étaient physiques alors que les attaques les traversent et ont une apparence de type holographique. Les invocations peuvent user de pouvoirs s'ils en avaient de leur vivant. Cela demande une concentration et de l'énergie de la part de Klaus, mais cela peut se déclencher par des émotions fortes notamment pour le sauver ou le protéger. Néanmoins, les actions des invocations sont liés à Klaus, donc les esprits sont contrôler entièrement par lui une fois dans le monde des vivants. L'exception étant les esprits avec lesquels il a l'habitude de converser et de passer du temps, ces derniers gardant leur indépendance lors d'une invocation (au moins plusieurs mois de connaissances). Outre cela, il pourrait prêter son corps à un esprit volontairement, durant le temps de possession, l'esprit ne peut pas user de facultés surnaturelles, pas même celles de Klaus. Pendant ce temps, celui-ci est comme endormi dans un coin. Néanmoins, plus le temps dure (supérieur à 20 minutes), plus Klaus va vouloir récupérer le contrôle de son corps et il peut se battre contre l'esprit, finissant par le vomir. Chose assez désagréable.

• Né le 1er octobre 1989 d'une grossesse étrange, il faisait partie des 43 enfants extraordinaires. Sa mère n'était pas enceinte avant l'accouchement, étant même vierge et célibataire.

• À peine né, Sir Reginald Hargreeves avait payé grassement sa mère pour son acquisition. Lui donnant le nom de Numéro Quatre, ce qui le faisait rejoindre une famille de 7, chacun ayant un numéro.

• Élevé par une nourrice juste pour les besoins primaires. Un père qui avait une aversion envers les enfants. Simple cobaye comme tous les autres membres de sa fratrie.

• Un petit sortis de l'enfance trop tôt, obligé de suivre un emploi du temps drastique à seulement trois ans qui limitait les divertissements à même pas trente minutes le samedi.

• Règles strictes et sévères dictés par un homme froid. Visions terrifiantes de morts se balandant parmi les vivants, il effleurait son don sans jamais le creuser par crainte des esprits aux apparences macabres puisque gardant leurs blessures.

• Apparition d'une mère robotique nommé Grace qui apportait un peu de réconfort dans ce grand manoir glaciale.

• École à la maison par des professeurs particuliers, des études aux connaissances avancés et divers. De part tout ses apprentissages, il y avait le maniement des armes ou encore le combat. Mais bon, Numéro Quatre n'était pas très fan du sport en général. Sinon, il avait apprit 7 langues : Anglais, Russe, Mandarin, Arabe, Hindi, Allemand et Japonais.

• Aucunement riche contrairement à son paternel, Numéro Quatre ne possédait pas vraiment d'objets lui étant propre et n'avait que des uniformes scolaires en guise de vêtements. Sa chambre était d'ailleurs petites, mais au moins plus grande que celle de numéro 7, c'était déjà ça.

• Dix ans, titre de héros sur le front. Un tatouage marquait à présent son avant-bras droit, celui d'un parapluie entouré. Numéro 7 mise de côté, Numéro 4 n'y prenait pas très garde. Jouer le héros était amusant à ses yeux. Un jeu que beaucoup d'enfants avaient fantasmé après leur mise en avant devant les projecteurs.

• Treize ans, jugé suffisamment grand pour évoluer. Son paternel jugeait qu'il était temps pour lui de développer son don et d'arrêter de jouer à l'enfant en ayant peur des morts. Ce n'était pas lui qui pouvait voir subitement des gens complètement cramés voir même démembré ! L'homme avait décidé de l'enfermer durant des heures dans un caveau, l'obligeant à subir les plaintes des morts.

• Traumatisé par cette expérience, l'effet avait été complètement différent de ce qu'avait voulu son paternel. Chutant dans l'alcool, puis la drogue, Numéro Quatre se détruisait à petit feu, cachant tout de même sa nouvelle dépendance. Faisant le mur dès qu'il le pouvait, il avait perdu sa virginité avec un garçon plus âgé.

• Numéro 5 avait fugué, il n'était plus là. Première fragilisation d'une fratrie de 7. Besoin d'une identité comme toute personne normale. Chacun avait pris un prénom, numéro quatre était devenu Klaus.

• Conneries sur conneries, il embarquait son frère Ben, Numéro 6, dans son passage. Klaus défiait sans cesse le paternel, se révoltant des règles instaurés. Besoin d'un uniforme correctement mis ? Klaus débarquait en slip avec la cravate sur la tête. Électron libre dont la sobriété était mise en questionnement par ses proches.

• Overdoses passés sous silence puisque jamais remarqué par le principale concerné. Vision d'une forêt avec un chemin. Trop défoncé pour bien comprendre qu'il mourrait et revenait avec un coup de pied dans le cul de la part de la Mort qui ne voulait guère de lui.

• Mission qui tournait mal, Ben était tué à 17 ans. Klaus était le seul à ne pas pleurer ou être en colère. Une fois seul devant son cercueil, Klaus n'avait que peu tarder à appeler son frère, juste à temps pour l'empêcher de rejoindre la lumière et de passer dans l'autre monde. Ensemble pour encore de nombreuses années, Klaus l'avait caché aux autres, ne faisant ainsi pas son deuil.

• Le premier à partir de ce manoir, coupant les ponts avec les siens pour partir peu après la mort de Ben. Son départ avait annoncé ceux des autres, sauf de Luther alias numéro 1.

• Des tatouages choisis. Un Hello sur la main droite et un Good Bye sur la main gauche. Pas besoin de parler pour dire bonjour ou au revoir, juste de lever la bonne main.

• Dépendance qui dictait ses pas, il sautait d'opportunité en opportunité pour pouvoir acheter ses doses. Vol ou même prostitution, devant les yeux impuissants de Ben qui ne pouvait pas le raisonner. Tout était bon pour choper quelques billets verts.

• Séjours variés derrières les barreaux des cellules de la police, le plus souvent temporairement. L'ombre du paternel qui le sortait de là sans guère se montrer.

• Cure de désintoxication forcés qui ne servaient à rien puisqu'il replongeait dès qu'il en sortait.

• Sortie de l'autobiographie de Vanya. Numéro 7 balançait tous les secrets de familles. Un doigt au paternel qui plaisait beaucoup à Klaus, mais pas tellement à Ben.

• Le vieux était mort, une bonne nouvelle pour Klaus. La retrouvaille avec ses frères et sœurs qui avaient tous plus ou moins changé alors que Klaus restait le même gars défoncé.

• Portail. Cinq revenait et même si physiquement il avait toujours le même âge que quand il était partis, il avait en fait plus de 50 ans. C'était qu'il avait vécu toute une vie. Mais il était porteur d'une triste nouvelle, l'apocalypse était dans une poignée de jours et ils allaient devoir s'en charger.

• Klaus avait essayé du mieux possible d'invoquer son paternel sans résultat, renversant même l'urne au passage.

• Apocalypse et alors ? Lui, il voulait continuer à se droguer et à picoler. Il n'était pas le membre le plus indispensable. Bien au contraire. Il était un boulet et il l'avait toujours été.

• Cinq avait besoin de lui pour jouer le rôle de son père pour un truc qui échappait complètement à Klaus. Et clairement, il s'en foutait. Tout ce qu'il voyait, c'était qu'il allait gagner 20$. Et il avait sortit le grand jeu, permettant à son frère d'obtenir des informations sur un oeil de verre pas encore distribué. Mais Klaus s'était fait arnaqué, il n'avait même pas eu son argent.

• Un bain, juste un foutu bain. Accompagné de quelques trucs pas très légal. Un casque sur les oreilles pour faire taire les voix des morts, Klaus était dans son monde, inconscient que sa fratrie se battaient contre deux assassins de la commission temporelle. Néanmoins, vêtue d'une simple serviette et de son long manteau alors qu'il faisait un petit essayage dans sa chambre, il se retrouvait entre les mains de Hazel, l'un des assassin qui avait décidé de l'embarquer.

• Mauvaise cible, Klaus était bien le seul qui n'était au courant de rien ou qui était tout simplement trop défoncé pour comprendre la moindre chose concernant cette apocalypse. Torture ? Rien ne fonctionnait, étant de toute façon un adepte de SM. Il avait déjà expérimenté pas mal de trucs.

• Sa dernière prise datait, il commençait à revenir à lui. Mauvaise nouvelle, accentué par l'apparition de l'esprit d'une femme, victime des assassins. Dernières tortures de la part des criminels, celui de détruire quelques cachets présent dans son manteau. Il craquait et les deux idiots avaient bouffer de son chocolat au canabis. Tant pis pour eux.

• Ils voulaient faire de lui un appât. Mais il avait beau leur dire que personne ne viendrait car personne n'allait remarquer sa disparition, nada. Revenant à lui, Klaus se retrouvait entouré par des tonnes d'esprits. Angoisse. Peur. Dégoût. Fermer les yeux ne servaient à rien, car ces enfoirés n'arrêtaient pas de parler. Klaus ne voulait pas les voir, il ne voulait pas les écouter. Mais coincé sur cette chaise, il n'avait guère le choix et incité par son frère, il les avait questionné. Cela lui avait permi de faire se retourner les assassins l'un contre l'autre à cause d'une victime épargné.

• Sauveuse, une flic, amie de Diego, Numéro 2. Détaché, Klaus avait récupéré son manteau avant de se cassé fissa par la plaque de ventilation, prenant une malette au passage. Il avait couru jusqu'à un bus, gobant des cachets sur le parcours et oubliant bien vite la flic.

• Croisant les doigts pour du fric, il avait ouvert la valise. Un flash, Klaus n'était plus là. Il avait actionné une machine temporelle. Le hasard voulait que vu qu'il l'avait maltraité sur le chemin sans le faire exprès, elle avait été abîmé. Où diable allait-il atterrir ? Où, quand et quel univers ?