RSS
RSS


rp crossover, possibilité de création en tout genre
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Partagez
Twilight - Eleazar Denali
Nath
Nath
Messages : 199
Points : 359
Date d'inscription : 06/09/2018
MessageSujet: Twilight - Eleazar Denali Twilight - Eleazar Denali EmptySam 16 Mai - 17:52
Eleazar
vampire végétarien
Eleazar Denali

ft. Christian Camargo
Identité

Surnom ›
Âge › 320ans
Statut ›marié
Métier › /
Race › vampire végétarien
Don (si il y a) › sentir le don des autres
Œuvre de base › Twilight
Jouable par d'autre ? › oui
Caractère
Sa bienveillance et son sens de la justice, c'est ce qui le caractérise le mieux selon ses proches.
Magnanime, il sait jouer les médiateurs au cours d'un conflit, trouvant en général les mots juste pour déverrouiller la situation.
Il respecte l'autorité de Tanya bien qu'il apprécie d'apporter sa pierre à l'édifice quand il a des informations utiles à offrir.
Toujours aussi amoureux de Carmen après les plus de deux siècles passés ensemble, il a su résister au pouvoir de Chelsea pour elle et la Volturi n'est pas prête de pouvoir glisser son don entre eux. Menacer Carmen serait sans doute le seul moyen de le faire sortir de ses gongs et découvrir le vampire qui sommeille en lui.
• Il considère Tanya et Kate comme ses propres sœurs. Il en fut de même pour Irina, mais il préféra accueillir le chagrin de son épouse et de ses sœurs que partager le sien.
• Il apprécie Garrett pour le bien qu'il fait à Kate, et espère que Tanya saura elle aussi trouver chaussure à son pied. Si possible en ayant pas besoin d'une nouvelle confrontation avec les Volturis pour cela.
• Ancien garde Volturi, il est un source de renseignements inestimable à leur sujet. Dans le même temps, plus il est loin des princes italiens, mieux il se porte.
• Espagnol de naissance et ayant passé près de 50ans au service des Volturis, il parle aussi bien l'espagnol et l'italien que l'anglais. Il a une faiblesse pour la langue de Molière, mais doit reconnaitre de nombreuses lacunes tant à la comprendre qu'à la parler.
Histoire
Je suis né en 1700 dans un petit village du sud de l'Espagne. L'un de ces endroits où le soleil semble ne jamais vouloir arrêter de déverser ses rayons et sa chaleur accablante sur la terre. L'un de ces endroits où il parait inconcevable de trouver un vampire. Je n'ai que peu de souvenirs de cette existence, principalement parce que j'ai tiré un trait dessus il y a bien longtemps. Si j'ai été marié ou si j'ai eu des enfants? Non, ça je pense que je m'en serais rappelé.

1739. Durant les heures les plus chaudes de la journée, il n'y a pas un chat dehors dans cette région. Mais dès lors que le soleil se couche et laisse place à sa compagne la lune, alors la vie reprend, malgré les superstitions. Superstitions possédant leur fond de vérité, comme je le découvris sans le désirer. Sans vraiment le chercher, j'ai toujours eu mon petit effet sur ces dames, et m’éclipser d'une fête avec l'une d'elle, si ce n'était pas "courant", n'était pas chose extraordinaire. Ses baisers s'accompagnant rapidement de deux piqures désagréables, puis d'une véritable douleur, ça pour le coup, ce n'était guère habituel. J'ai pensé voir ma dernière heure arrivée quand mon instinct de conservation a compris qu'elle était tout simplement en train de me pomper le sang. Paniquer? Je crois que l'idée ne m'a pas même effleuré, tant cela a été soudain.
Sans doute ma tortionnaire a-t-elle été interrompue en plein repas, je dois dire que j'étais plus mort que vif à ce moment là, car elle me relâcha soudainement, me laissant choir au sol sans cérémonie, et avait quitté les environs avant même que je ne relève le regard vers elle. J'ai passé trois jours à agoniser, ayant l'impression de bruler de l'intérieur aussi certainement que si j'avais avalé de l'acide. Le quatrième soir, je suis parvenu à sortir de ma cachette, envahi par la double sensation d'une puissance nouvelle et d'une soif intense accompagnée d'une grande faiblesse. Se sentir fort et faible à la fois, c'est une impression étrange.

1742. Je suivis quelques mois durant un nomade rencontré pendant une chasse trop impulsive et loin d'être discrète, qui m'apprit ce que j'avais à savoir sur ce monde qui était désormais mien. A la condition de ne pas être une gène pour lui, le faire découvrir, lui faire rater une chasse et j'en passe, mais je m'avérai plutôt bon élève. C'est alors que nous arrivions en Italie que nos chemins se séparèrent. Lui désirait poursuivre jusqu'en Grèce, et s'épargner le voisinage des Volturis. Pour ma part, je voulais en savoir plus sur ces garants de la justice des vampires dont j'avais entendu parlé avec tant de crainte.

Ça m'a frappé en apercevant les premiers d'entre eux. La Garde, bien sur. Il en faut un peu plus que s'approcher du palais pour avoir droit à une audience avec Aro et ses frères. Cette sensation que j'avais déjà ressenti face à certains humains, mais bien plus forte, plus pressante, et plus claire. La torture, le bouclier, la capacité de se jouer des relations des uns et des autres... leurs dons m'apparaissaient aussi clairement que s'ils avaient été miens, l'espace d'une seconde. Des dons étranges, pour des pourvoyeurs de justice, dans le sens où j'entends le mot justice. Les princes m'ont impressionné, cela dit, et je ne peux nier que Aro sait trouver les mots pour dire les choses. Un télépathe. Je n'ai pas eu besoin de déposer ma main dans la sienne pour le comprendre. Lui a semblé emballé par les perspectives que lui ouvraient ma capacité. Caius beaucoup moins. Je pense que ce vampire n'aime personne hormis lui-même.

Aro me fit intégrer la garde Volturi. Développer mon don pour comprendre non seulement les pouvoirs des vampires, mais également ceux des humains susceptibles de développer un don lors de leur transformation. Ils sont rares, mais ils existent. Et avec ce qu'il faut de concentration, je peux les repérer. J'ai souvent douté, me demandant si Aro agissait vraiment par idée de justice ou par simple collectionnite aigüe. Lorsque un clan avait, selon lui, a subir son courroux, ceux qui se voyaient pardonner la faute et intégrés à ses rangs étaient systématiquement ceux que je lui désignait comme porteurs de dons intéressants. Une situation qui m'éloigna progressivement du reste de la garde. Je suis loyal, et n'ai a aucun moment trahi Aro durant ma présence parmi les siens, mais j'ai passé des heures à arpenter seul les couloirs de cette illustre demeure, ne tenant pas franchement à tomber sur l'un ou l'autre de mes alliés du moment.

1779. J'avais été envoyé en Espagne, ainsi que quelques autres, afin d'en ramener un jeune vampire prometteur, d'après les informations que Aro avait obtenu d'une autre vampire de moindre importance ayant croisé le chemin du jeune prodige. Confirmer les capacités du nouveau-né, et le ramener en Italie, une mission simple en apparence. Banale. Sauf que le jeune était accompagné. Une vampire que Aro qualifierait toute aussi banale, de par son absence de don. A mes yeux, elle en eu rapidement un pourtant. Celui de me taper sur le système, dans le bon sens du terme. Trouvant réponse à chacun de mes arguments, qu'elle démontait proprement, ses propres arguments ne tombant pas tout à fait dans l'oreille d'un sourd. Au fil des années, j'avais fini par accepter ce que les Volturis appellent justice bien que mes principes ne s'y accordaient pas. Elle a réveillé cette part de moi qui désirait vivre selon mon propre code d'honneur, sans devoir accepter celui, pernicieux, des puissants du monde. Carmen. J'ai beaucoup voyagé en un demi-siècle, mais finalement, ce n'est guère loin de ma région natale que j'ai trouvé la perle rare.

1788. Comme je l'avais prédit, son absence de ... particularité, l'a rendue inintéressante aux yeux de Aro. Pour ma part, je finissais par passer plus de temps auprès d'elle qu'à Volterra. Durant neuf années, j'ai conjugué ces deux parts de ma vie, l'une tendant à prendre de plus en plus de place sur la seconde. Nombreuses furent les occasions pour Carmen de critiquer les choix des Volturis, et chacune de ces conversations me faisait comprendre davantage que ma place n'était plus à leur cotés, si elle l'avait été un jour. De leur part, j'avais appris tout ce que j'avais à apprendre, et il était temps pour moi que je fasse mes propres armes. Vint le jour où je donnai mon congé à Aro, ayant préparé une foule d'arguments à mon avantage afin de le convaincre de me laisser m'en aller. En vérité, il était déjà bien au courant de la raison de ma venue à lui. Il semblerait que Marcus et son étrange don avaient su remarquer que ma loyauté et mon cœur appartenaient à une autre, et que même Chelsea n'avait rien pu faire contre cela. Je n'eut pas un mot à prononcer qu'il me rendit ma liberté, avec la promesse que je serais toujours le bienvenu à la cour si l'idée m'en disait. Un don aussi intéressant que le mien serait gâchis que d'être perdu. Une pensée que je gardais cependant pour moi.

1789. On aurait pu croire que l'été français était le dernier endroit où trouver deux vampires. En vérité, nous étions bien plus nombreux que cela aux alentours de la capitale au ciel obstrué par la fumée des canons à poudre et des fusils à chiens. Des jours durant, le soleil ne put percer la couche grisâtre qui bloqua ses rayons, nous laissant tout loisir d'évoluer parmi les hommes en plein jour sans nous soucier de notre discrétion. Ce que nous faisions ici? C'était service à volonté. Pour rester plus sérieux, bien que la Tour Eiffel n'était pas prête d'être montée en son sein, Paris me semblait une ville appropriée pour fêter les dix ans de notre rencontre. Notre instinct nous fit rester pour participer au banquet. Et notre compassion naturelle nous fit préférer les proies qui n'avaient aucune chance de s'en sortir, et dont nous abrégions les souffrances, aux jeunes gens qui avaient encore une longue vie devant eux.

1800. Au cours de la décennie suivante, nous décidions de quitter l'Europe pour tenter notre chance sur le Nouveau Continent. Le nouveau siècle qui s'ouvrait nous vit rencontrer un clan de vampires aux mœurs particulières. Les sœurs Denali, Tanya, Kate & Irina, dont le mode alimentaire si particulier nous intrigua assez pour nous y essayer. Se nourrir sur des animaux nous permettait d'épargner les humains, et de retrouver un mode alimentaire plus en raccord avec nos principes. Bien qu'il me fut d'abord plus compliqué de planter mes crocs dans la gorge d'une biche innocente que de déchiqueter le col d'un salaud en puissance, j'ai fini par admettre que la nature faisait de la biche une proie alors que le dit-salaud risquerait de manquer à un gosse que j'aurai rendu orphelin. Il fallu quelques années à mes yeux pour perdre leur couleur sanguine et adopter le ton doré de ceux des trois sœurs. Je n'ai pas toujours été très bon élève. Mais j'y suis parvenu, et lorsque Tanya nous a proposé de rester à leurs cotés, nous n'avons guère su hésiter, bien que, si Denali est notre foyer et notre famille, nous nous offrons quelques tours du monde par décennie, Carmen et moi.

J'ai rapidement été intrigué par le don de Kate, et même assez curieux pour m'y risquer, une fois. Certainement pas deux. Notre rencontre avec le clan Cullen, une autre famille de végétariens, m'a donné l'occasion d'user de mon don de nouveau. Aro est un collectionneur, et il est inévitable que sa collection s'agrandisse d'année en année. Carlisle est un homme bien, avec qui j'ai rapidement sympathisé, et il est totalement clair qu'il n'a jamais cherché à rassembler de puissants vampires autour de lui. Et pourtant, entre Edward, Alice et Jasper, il y avait du beau monde chez lui. Au jour d'aujourd'hui, rajoutez Bella et Renesmée, et comprenez l'intérêt bien trop grandissant de Aro pour cette partie de notre famille.

Il y a plus d'une décennie de cela, Carlisle nous a appelé à l'aide, dans le conflit l'opposant à une vampire rouquine ayant créé une armée de nouveaux-nés. Son alliance avec les loups de Forks, ceux-là même qui avaient mis en pièce le compagnon d'Irina, Laurent - un vampire étant trop vite venu et reparti, partagé entre deux loyautés -, causa cependant une crise parmi nous, et, par respect pour la douleur de notre sœur, nous déclinions la demande de nos cousins, bien que nous nous en voulions pour cela, appréciant de savoir que finalement, cette histoire ne s'était pas trop mal terminée, malgré l'arrivée inopinée des Volturis.

Nous avons cependant pu renforcer nos liens quelques mois plus tard, lorsque nous fumes invités au mariage de Bella et Edward, le fils ainé de Carlisle. Si Irina nous refusa sa présence, nous nous y rendions avec plaisir, profitant d'une journée à Forks au sein de cette famille que nous avions l'impression d'avoir trahi plus tôt.

Notre prochaine visite à Forks se voulait cependant sous de moins bons hospices. J'ai contribué à convaincre Irina de s'y rendre afin d'avoir une conversation avec les Cullen, et, si l'idée lui venait en passant, leur présenter ses excuses pour son comportement des derniers mois. Une décision que je regrette depuis, car si nous ne l'avions pas forcée dans cette direction, elle n'aurait jamais aperçu Renesmée sans les explications qui allaient avec son existence, et n'aurait jamais prévenu les Volturis, avec les conséquences que nous connaissons. La perte d'Irina a été un coup dur pour nous, et un sentiment de culpabilité que j'ai eu peine à taire, à défaut de le faire totalement disparaitre. Bien sur, sans cela, nous n'aurions pas ramené Garrett à notre suite, et Kate et lui ne fileraient pas présentement le parfait amour. Un mal pour un bien, dirons nous. Mais parfois, on apprécierai d'avoir le bien sans le mal qui va avec.

Actuellement, nous prenons le temps de nous installer à Old City, une ville qui nous change de l'isolement de Denali. Pourquoi ce déménagement? Peut-être en avons-nous eu marre de rester entre nous, après avoir gouté à la proximité d'un plus grand nombre lors du temps passé chez les Cullen. Accessoirement, il nous fallait nous éloigner chaque jour davantage pour nous nourrir. Laisser à la faune de l'Alaska le temps de se remettre des prélèvements que nous y avons fait ces dernières décennies ne peut que lui faire du bien.
Evolution en RP
Rosalie débarque à Old City après la trahison d'Emmett. Eleazar et elle en profitent pour rappeler à Garrett qu'il y a 15ans qu'on attends qu'il passe une bague au doigt de Kate. Leur conversation se trouve interrompue par l'arrivée de la soeur de Garrett, Lottie.
©️ VANKA
Revenir en haut Aller en bas
Twilight - Eleazar Denali
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Twilight - Garrett Denali
» Twilight - Carmen Denali
» Twilight - La tempête Rosalie Cullen
» Twilight - Vladimir
» Twilight - Alice - le p'tit lutin

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Universe :: Anciennes fiches de personnages-